|
African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730 EISSN: 1021-9730
Vol. 9, No. 1, 2001, pp. 49-57
|
Bioline Code: cs01034
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
|
|
African Crop Science Journal, Vol. 9, No. 1, 2001, pp. 49-57
en |
Performance of Selected Sweetpotato Varieties in Kenya
Mcharo, M.; Careyand, E.E. & Gichuki, S.T.
Abstract
The major constraints to sweetpotato production in Kenya are use of low yielding
albeit well adapted varieties and poor agronomic practices. Utilisation of higher
yielding varieties could therefore increase yields. This study was conducted
to evaluate introduced germplasm and identify clones with desirable traits.
Twenty five clones selected on the basis of high root yield and high dry matter
content were evaluated during the 1998 and 1999 long rains seasons. From these,
12 clones were selected for further evaluation in the 2000 long rains. Significant
(P = 0.01) genotypic effects were observed for all traits, while genotype x
season interactions were significant (P = 0.05) for large and total root yields.
Twenty two of the clones had significantly lower foliage yields, compared to
the check variety Mafuta. Clones 282-H-12 and WAGA-L-4 consistently recorded
dry matter content of over 30%, which is above the critical value of 27%. Mean
total root yields were highest in 1999 (14.6 tons ha-1) followed by 1998 (12.0
tons ha-1). The best performing clones were TZ-H-7, 120-H-11, 282-H-12 and TZ-H-10,
all producing over 20 tons ha-1 with TZ-H-7 yielding significantly higher than
the check variety Naveto. TZ-H-7 also recorded the second highest yield of 13.3
tons ha-1 during 2000. The consistently high number of clones outyielding the
check varieties suggests a gain from introduction of new germplasm into the
breeding programme in Kenya.
Keywords
Dry matter, foliage production, germplasm, sweetpotato breeding
|
|
fr |
Mcharo, M.; Careyand, E.E. & Gichuki, S.T.
Résumé
L'usage des variétés à bas rendement, malgré leur
adaptation, et l'utilisation des méthodes culturales rudimentaires restent
des contraintes majeures à la production de la patate douce au Kenya.
L'utilisation des variétés à haute performance pourraient,
cependant, améliorer les rendements. Cette étude a été
conduite pour évaluer le germplasme introduit et identifier des clones
avec des traits désirables. Vingt cinq clones choisis sur base de leur
haut rendement des tubercules et du contenu en matière sèche de
ces derniers, ont été évalués lors des longues saisons
des pluies de 1998 et 1999. De ceux-ci, 12 clones furent retenus pour une évaluation
plus poussée dans la longue saison des pluies de l'an 2000. Les effets
génotypiques significatifs (P=0,01) furent observés pour tous
les traits alors que des interactions génotype x saison furent significatives
(P=0,05) pour le rendement total en tubercules et en tubercules de large taille.
Parmi ces clones en évaluation, 22 eurent des rendements significativement
faibles en feuillage comparés à la variété témoin,
Mafuta. Les clones 282-H-12 et WAGA-L-4 enregistrèrent constamment le
contenu en matière sèche au dessus de 30%, bien au dessus de la
valeur critique de 27%. Les rendements moyens en tubercules furent les plus
élevés pour l'année 1999 (14,6 t/ha) et ensuite pour l'année
1998 (12,0 t/ha). Les clones plus performants furent TZ-H-7, 120-H-11, 282-H-12
et TZ-H-10, et, tous produisirent plus de 20 t/ha, avec exceptionnellement TZ-H-7
produisant significativement plus que le témoin Naveto. TZ-H-7 enregistra
aussi le second plus haut rendement de 13,3 t/ha pour la saison de l'année
2000. Le grand nombre de clones produisant plus que le témoin, d'une
façon répétitive, suggère qu'il y at un gain dans
l'introduction d'un nouveau germplasme dans le programme de sélection
du Kenya.
Mots Clés
Matière sèche, production du feuillage, germplasme, sélection de la patate douce
|
|
© Copyright 2001 - African Crop Science Society
|
|