La production de la tomate (
Lycoperscicum lycopersicum
) au Ghana est caractérisée par de bas rendements et une utilisation élevée de fertilisants. Ceci résulte à la longue en une perte de productions, par suite des pressions environnementales à savoir la sécheresse, les pestes et maladies. Parmi d’autres légumes, les tomates sont plus susceptibles à ces contraintes biotiques que d’autres cultures. Les pesticides chimiques, et, dans certaines limites, la gestion des pratiques intégrées de la peste a été appliqué pour contrôler les pestes et maladies mais avec un success limité. L’utilisation des pesticides a été inefficace, poussant les fermiers à appliquer de fortes doses. L’objectif de cette étude était d’identifier les sources les plus importantes de gaz à effets de serre,des composés acidifiants et eutrophiants associés à la production de la tomate au Ghana et identifier les options pour réduire les impacts environnementaux. La méthode d’analyse du cycle de vie (LCA) était utilisée dans l’analyse (
Cradle to gate approach). L’analyse de l’ inventaire concernait la collecte des données sur le matériel brut, la consummation et l’émission de l’ énergie. De ces résultats, il était révélé qu’approximativement 8,544 kg CO
2-equivalents de gaz à effets de serre était émis par hectare de production de tomate au Ghana. Parmi les trois principaux composants de gaz à effet de serre, CO, CH et NO, le gaz NO présentait de valeurs les plus élevées suivi par le CO. En considérant les activités générées par les gaz à effet de serre, l’application des fertilisants se range le premier avec une part de 97%. Le total des émissions acidifiantes par hectare issue de SO
2 et NO
X étaient évalué à 19.50 kg SO
2 –equivalent. En considérant le résultat en terme d’actuel et equivalent SO
2, l’émission de NO
X était plus large que celle de SO
2. Environ 211.50 kg PO
4 equivalent de composés eutrophiants étaient émis par hectare. Pour ce qui est des options visant à réduire l’impact environnemental de la production de tomate au Ghana, les pratiques recouvrant le coût d’investissement et générant un profit à court terme sont plus préférées que les pratiques où le recouvrement coût d’investissement est à long terme: les pratiques à profitabilité élevée, associées aux profits attendus sont les mieux désirés que les pratiques avec bénéfice incertain.