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Effect Of Planting Methods And Soil Moisture On Cassava Performance In The Semi-Arid Sudan Savanna Belt Of Nigeria Okogbenin, E.; Eknayake, I.J. & Porto, M.C.M. Abstract Climatic and edaphic factors are important determinants of the growth and yield potential of an ecological environment. Among other cultural practices, planting methods play a very vital role in the performance of a crop. The effects of planting methods and soil moisture on cassava (Manihot esculenta) performance in the Sudan savanna region of Nigeria were assessed under field conditions at the International Institute of Tropical Agriculture (IITA) in Minjibir, Kano State. Six planting methods in monoculture were evaluated in two crop seasons. These were horizontal planting on furrow or ridge, inclined planting on flat or ridge, and vertical planting on flat or ridge.Two genotypes were compared: TMS 91934, an improved IITA clone; and Dakata Uwariya, a land race. Dakata Uwariya was significantly better (P < 0.05) than TMS 91934 in plant height and root dry matter content; TMS 91934 was better in leaf formation and leaf retention. Ridge-based methods positively influenced root yield production and leaf formation, while flat or furrow methods were advantageous in number of plants at harvest. Horizontal and inclined planting were the best methods in general. Results showed that cassava performance in the Sudan savanna of Nigeria was influenced by genotype, planting methods and soil moisture. Sustainable development of cassava in the semi-arid agroecology essentially depends on the use of clones with good drought adaptation, combined with efficient cultural practices for good growth and yield. Keywords Leaf formation, leaf retention, Manihot esculenta, planting methods, root dry matter, root yield

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Okogbenin, E.; Eknayake, I.J. & Porto, M.C.M. Résumé Les facteurs climatiques et édaphiques sont des composantes importantes déterminant le potentiel de croissance et de rendement dans un environnement écologique donné. Entre autres pratiques culturales, les méthodes de plantation jouent un rôle, on ne peut plus vital, dans la performance d' une culture. Les effets des méthodes de plantation et de l' humidité du sol sur la performance du manioc (Manihot esculenta) ont été évalués en plein champ dans la ferme de l ' Institut international d' agriculture tropicale (IITA) à Minjibir dans l' État de Kano, en zone de savane soudanienne. Six méthodes de plantation, en condition de monoculture, ont été évaluées pendant deux campagnes culturales: plantation horizontale en sillons ou en billons, plantation inclinée sur le plat ou en billons et plantation verticale sur le plat ou en billons. Deux génotypes ont été comparés: TMS 91934, un clone amélioré de l' IITA et Dakata Uwariya, un cultivar local. En ce qui concerne la hauteur du plant et la teneur en matières sèches des tubercules, Dakata Uwariya s' est avéré significativement meilleur (P<0,05) que TMS 91934; par contre, TMS 91934 a présenté une meilleure formation et rétention foliaires. Les méthodes de plantation en billons ont positivement influencé le rendement en tubercules et la formation foliaire, tandis que les méthodes de plantation sur le plat ou en sillons se sont révélées avantageuses en termes de nombre de plants à la récolte. En général, les méthodes de plantation inclinée se sont avérées les meilleures. Les résultats ont indiqué que la performance du manioc dans la zone de savane soudanienne du Nigéria a été influencée par le génotype, les méthodes de plantation et l' humidité du sol. Un développement durable du manioc dans la zone agroécologique semi-aride repose essentiellement à la fois sur l ' utilisation de clones dotés d ' une bonne adaptation à la sécheresse et sur le recours aux pratiques culturales efficaces en vue de l'obtention d'une bonne croissance et de rendements élevés. Mots Clés Formation foliaire, rétention foliaire, Manihot esculenta, méthodes de plantation, matière sèche des tubercules, rendement en tubercules

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