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African Crop Science Journal
African Crop Science Society
ISSN: 1021-9730 EISSN: 1021-9730
Vol. 7, No. 1, 1999, pp. 59-69
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Bioline Code: cs99006
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Crop Science Journal, Vol. 7, No. 1, 1999, pp. 59-69
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Studies Of Pigeonpea Insect Pests And Their Management In Kenya, Malawi, Tanzania And Uganda
Minja, E.M.; Shanower, T.G.; Songa, J.M.; Ong'aro, J.M.; Kawonga, W.T.; Mviha, P.J.; Myaka, F.A.; Slumpa, S.; Okurut-Akol, H. & Opiyo, C.
Abstract
Systematic surveys were conducted in farmers'
fields in Kenya, Malawi, Tanzania, and
Uganda to determine the incidence, distribution and damage levels
due to insect pests of pigeonpea seeds. Three surveys were
conducted in eastern Kenya, one in 1992 and two in 1995. Two
surveys, one per country per year - were conducted in Malawi,
Tanzania, and Uganda in 1995 and 1996. Key insect pests were pod
sucking bugs (dominated by Clavigralla
tomentosicollis Stål), pod and seed boring Lepidoptera
(Helicoverpa armigera Hübner, Maruca vitrata
(= testulalis) Geyer, Etiella zinkenella
Treitschke), and pod fly (Melanagromyza
chalcosoma Spencer). Seed damage due to insect pests were
22, 15, 14, and 16% in Kenya, Malawi, Tanzania, and Uganda,
respectively. Damage levels indicated that pod sucking bugs were
more damaging in Malawi (caused 69% of total seed damage) and Kenya
(43%), while pod borers caused more damage in Tanzania (50%) and
Uganda (54%). Pod fly caused more damage in Kenya than in the other
countries. Pod borer damage was high in early maturing crops and
pod fly in late maturing crops, while pod sucking bugs damage was
high regardless of crop maturity period. Greater variations in seed
damage were observed between locations in Kenya, Malawi, and
Tanzania than in Uganda. Warm and dry locations had less seed
damage than warm and humid, cool and dry, or cool and humid
locations in Kenya, Malawi and Tanzania. None of the farmers
visited in Malawi, Tanzania, and Uganda used conventional
pesticides on pigeonpea in the field. Over 80% of these farmers
used traditional methods in storage pest management. In contrast,
35 and 53% of farmers in Kenya had used conventional pesticides on
long-duration pigeonpea genotypes in their fields.
Keywords
Distribution, Lepidoptera, pod fly, pod sucking bugs
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fr |
Minja, E.M.; Shanower, T.G.; Songa, J.M.; Ong'aro, J.M.; Kawonga, W.T.; Mviha, P.J.; Myaka, F.A.; Slumpa, S.; Okurut-Akol, H. & Opiyo, C.
Résumé
On a conduit une série d'enquêtes en champs paysans au
Kenya, au Malawi, en Tanzanie, et en Ouganda afin de
déterminer l'incidence et la répartition des
ravageurs de pois d'Angole ainsi que les taux de
dégâts aux grains dus à ces ravageurs. Trois
enquêtes ont été menées dans l'est du Kenya, une en 1992 et
deux en 1995. Chacun des trois pays - Malawi, Tanzanie et Ouganda -
ont fait l'objet d'enquêtes une fois en
1995 et une autre fois en 1996. Les ravageurs importants ont
compris des punaises suceuses de gousse (surtout Clavigralla
tomentosicollis Stal), des foreurs des gousses et des grains
(Helicoverpa armigera Hubner, Maruca vitrata (=testulalis) Geyer,
Etiella zinkenella Treitschke),
ainsi que des mouches des gousses (Melanagromyza chalcosoma
Spencer). En milieu réel, les dégâts aux grains
dus aux ravageurs ont été 22% au Kenya, 15% au
Malawi, 14% en Tanzanie, et 16% en Ouganda. Les taux de
dégâts ont indiqué que les punaises suceuses de
gousse ont été les plus graves au Malawi (69% des
dégâts totaux aux grains) et au Kenya (43%), tandis
que les foreurs des gousses ont occasioné plus d'atteintes en Tanzanie (50%) et
en Ouganda (54%). Les mouches des gousses ont causé plus de
dégâts au Kenya que dans d '
autres pays. Les foreurs des gousses
ont provoqué des dégâts importants chez les
cultures précoces et les mouches des gousses chez les
cultures tardives. Les punaises suceuses de gousse ont causé
des atteintes graves sur tous les cycles de maturation. Il y a eu
plus de variations dans les taux de dégâts parmi les
localités au Kenya, au Malawi et en Tanzanie qu'en Ouganda. Les
localités chaudes et sèches ont eu moins de
dégâts que les localités chaudes et humides,
fraîches et sèches, ou fraîches et humides au
Kenya, au Malawi et en Tanzanie. Les paysans qu'on a rencontrés au cours des
enquêtes au Malawi, en Tanzanie et en Ouganda n'ont pas appliqué de pesticides
conventionnels sur le pois d'Angole aux champs. Plus de 80% de ces
paysans emploient des méthodes de lutte traditionnelles
contre les insectes des denrées. Par contre, 35% des paysans
rencontrés au Kenya en juillet 1995 et 53% en août
1995 ont appliqué des pesticides conventionnels sur les
génotypes de pois d'Angole tardifs dans leurs champs.
Mots Clés
Distribution, Lepidoptera, foreurs de gousses, punaises suceuses
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