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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 18, No. 1, 2014, pp. 110-122
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Bioline Code: rh14012
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Journal of Reproductive Health, Vol. 18, No. 1, 2014, pp. 110-122
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Gender Based Violence and its Effects on Women’s Reproductive Health: The Case of Hatcliffe, Harare, Zimbabwe
Mukanangana, F; Moyo,, S; Zvoushe, A & Rusinga, O
Abstract
Gender based violence (GBV) negatively impacts on women’s reproductive health (R.H) and is contrary to human rights and RH statutory instruments. The study triangulates quantitative and qualitative research methods with women in the reproductive age group being the target group. The study noted that 95% of the respondents experienced physical violence, 31% rape by a stranger, 92% spousal rape and 65% forced marriages. Socio-cultural, religious, economic and policy implementation factors underlie a culture of silence that prevails among the victims of GBV. The study recommends economic empowerment of women and information, education, counselling pertaining to the negative effects of GBV to both males and females. There is need for education about grievance procedures and scaling up of policy enforcement in order to curb the gruesome effects of GBV.
Keywords
physical abuse, sexual violence, forced marriages, Hatcliffe, Zimbabwe
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Mukanangana, F; Moyo,, S; Zvoushe, A & Rusinga, O
Résumé
La violence basée sur les sexes (VBS) a un impact négatif sur la santé de la reproduction des femmes (SR) et elle est contraire aux droits de l'homme et les textes réglementaires de SR. L'étude fait une triangulation des méthodes de recherche quantitatives et qualitatives avec les femmes dans le groupe en âge de procréer étant le groupe cible. L'étude a noté que 95 % des interrogées ont connu la violence physique, 31 % le viol par un inconnu, 92 % le viol conjugal et 65% les mariages forcés. Les facteurs de mise en oeuvre religieuses, économiques et politiques socio- culturel, sous-tendent une culture de silence qui règne parmi les victimes de violence sexiste. L'étude recommande l'autonomisation économique des femmes et de l'information, l’éducation, les conseils concernant les effets négatifs de la violence sexiste pour les mâles et pour les femelles. Il faut l'éducation sur les procédures de règlement des griefs et l’élargissement de l'application de la politique afin de limiter les effets horribles de la violence sexiste.
Mots Clés
violence physique, violence sexuelle, mariages forcés, de Hatcliffe, Zimbabwe
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