L’ozone (O
3) est un gaz phytotoxique le plus important responsable de pertes substantielles des rendements des
cultures de par le monde, avec des effets néfastes sur la végétation en général. D’autre part, l’oxyde d’azote (NO
2)
est un polluant atmosphérique probablement associé avec O
3 du fait qu’il est son précurseur. L’objectif de cette
étude était de déterminer les effets d’exposition séquentielle au dioxyde d’azote (NO
2) et à l’ozone (O
3) sur la
fluorescence chlorophyllienne du radis,
Raphanus sativus
L. Les plants de radis étaient quotidiennement exposés à O3 ou NO2, ou en séquences de ces deux gaz. Les profiles d’exposition pour les deux gaz a approximé les sine
néfastes reportés, alors que pour NO
2 cette valeur est en deçà des valeurs reportées. Les séquences ont impliqués différentes combinaisons d’exposition au NO
2 de 06 :00 à 10 :00hr et/ou 18 :00 à 22:00 hr et O
3 de 10:00 à 18:00 hr. Concernant le témoin, l’application du NO
2 faite tôt le matin ou faite tôt et tard a entrainé des stimulations de rendement (Y) et le
quenching photochimique (qP), l’application retardé de NO
2 ayant résulté en aucun changement ou un changement mineur. Au contraire, l’application tôt du NO
2, retardée, ainsi que l’application de NO,
2 tôt et
3 while for NO
2 it is below the reported threshold. The sequences involved different combinations of exposures to
waves avec un volume de 120 ppm (parties par millions, nl l
-1). Dans le cas de O , ceci est proche des effets néfastes reportés, alors que pour NO
2 cette valeur est en deçà des valeurs reportées. Les séquences ont impliqués différentes combinaisons d’exposition au NO
2 de 06 :00 à 10 :00hr et/ou 18 :00 à 22:00 hr et O3 de 10:00 à 18:00 hr. Concernant le témoin, l’application du NO
2 faite tôt le matin ou faite tôt et tard a entrainé des stimulations de rendement (Y) et le
quenching photochimique (qP), l’application retardé de NO
2 ayant résulté en aucun changement ou un changement mineur. Au contraire, l’application tôt du NO
2, retardée, ainsi que l’application de NO
2 tôt et tard dans la combinaison avec O
3 ont induit des réductions progressives dans ces deux variables. L’effet général du traitement O
3 avait induit la stimulation du rendement et qP, ces deux derniers étant indicatifs de l’accroissement photochimique. Les expositions retardées du NO
2 ont causee des effets non significatifs en rapport avec le témoin. Cependant, l’application retardee de NO
2 n’a pas pu induire une stimulation significative de la photochimie dans le chloroplaste, mais a plutôt causé des augmentations résiduelles significatives dans le
quenching non photochimique (qN) au milieu de la journée, une réponse qui implique une capacité accrue de la photo-protection. La stimulation du rendement et du quenching photochimique par O
3, O
3+traitement NO
2 (retardé), O
3+NO
2 (tot), NO
2 (tot) et NO
2 (tard) + NO
2 (tot) Implique que la fixation du CO2 était limitée par les processus à PSII. Cependant, à l’exception de la stimulation du qN par NO
2 (tot), toutes les expositions impliquant O
3 ont abouti à une diminution dans le qN impliquant l’incapacité de réguler la photosynthèse résultant des changements dans la membrane thylacoïdale. Dans le cas du NPQ, toutes les expositions incluant O
3, ont réduit ce paramètre suggérant ainsi un handicape dans le fonctionnement du cycle de xanthophylle associé au complexe de
light-harvesting du photosystème II.