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Interventions for Violence Prevention among Young Female Hawkers in Motor Parks in South-Western Nigeria: A Review of Effectiveness Olufunmilayo I Fawole, Ademola J Ajuwon, Kayode O Osungbade and Olufemi C Faweya Abstract An intervention study was carried out among hawkers, drivers, instructors, police and judicial officers to reduce the incidence of violence against young female hawkers in three states of south-western Nigeria. Knowledge and experience of violence among the hawkers before and after the interventions were then compared. Findings show that they had greater knowledge of the different types of violence (p << 0.05), were more aware of their vulnerability to violence (99.4% after compared to 82.7% before intervention) and sought help or redress (76.3% after compared to 45.8% before intervention) following violent acts. Sexual violence was the commonest type experienced (30.4% and 15.7% at base line and end line respectively). The rate of violence also decreased. We conclude that multidisciplinary interventions that empower women economically and educationally and involve all stakeholders are effective in preventing violence against women. (Afr J Reprod Health 2003; 7[1]: 71-82) Keywords Violence, women, gender, Nigeria

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Olufunmilayo I Fawole, Ademola J Ajuwon, Kayode O Osungbade and Olufemi C Faweya Résumé Interventions pour la prévention de la violence chez les jeunes colporteuses dans les gares d'autos au sud-ouest du Nigéria: une critique de l'efficacité. Il s'agit d'une étude d'intervention concernant le développement et la distribution des matériels éducatifs, les ateliers de formation/sensibilisation et l'assurance des microcredit aux colporteurs, aux chauffeurs, aux instituteurs, à la police et aux agents judiciaries dans trois Etats du sud-ouest du Nigéria, afin de réduire l'incidence de violence chez ce groupe d'individus. Nous avons comparé la connaissance et l'expérience de violence chez les colporteuses avant et après les interventions. Les résultats ont montré qu'elles avaient une meilleure connaissance de différents types de violence (p << 0,05), qu'elles étaient plus conscientes de leur vulnérabilité à la violence (99,4% après, par rapport à 82,7% avant, l'intervention) et qu'elles ont sollicité l'aide ou la réparation (76,3% après, par rapport à 45,8% avant, l'intervention) suite à des actes de violence. La violence sexuelle était le type d'expérience le plus commun (30,4% et 15,7% à la ligne de base et à la ligne de fond respectivement). Le taux de violence a diminué aussi. Comme conclusion, l'étude affirme que les interventions multidisciplinaries qui responsabilisent la femme sur les plans économique et éducatif et qui impliquent tous les intéressés sont efficaces pour la prévention de la violence contre la femme. (Rev Afr Santé Reprod 2003; 7[1]: 71-82)

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