Pour identifier la présence de la toxicité sur l’épithélium vaginal, la foie et le rein suite d’une administration d’UniPron, nous avons utilisé dix babouins (
Papio anubis
) olivâtres en bonne santé qui étaient en âge de procréer et d’une fécondité confirmée. Cinq babouins ont été soignés chacune au 15g d’UniPron par voie intravaginale deux fois par semaine pendant 20 semaines et le sang veineux a été collecté avant et après chaque traitement. Le sang veineux a été collecté de cinq animaux témoin comme dans le cas des femelles d’expérience, mais ces animaux témoin n’ont pas été traités. Les résultats qui ont été analysés ont compris les profils chimiques clinques sur les fonctions de la foie et du rein et l’histopathologie vaginale. Les babouins femelles qui ont été soignées au 15g d’UniPron par voie intravaginale n’ont pas eu d’effets négatifs détectables sur les profils chimiques étudiés et sur l’histopathologie. L’exposition intravaginale répétée des babouins femelles a UniPron n’a pas déclenché l’irritation vaginale détectable et il n’y avait pas de modifications histologiques détectables. Nous avons conclu que l’administration d’UniPron dans le vagin du babouin n’a causé aucune toxicité détestable (
Afr J Reprod Health 2009; 13[4]:95-104).
