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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 17, No. 2, 2013, pp. 58-71
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Bioline Code: rh13023
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Journal of Reproductive Health, Vol. 17, No. 2, 2013, pp. 58-71
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Modern Contraceptive Use among Women in the Asuogyaman District of Ghana: Is Reliability more Important than Health Concerns?
Teye, Joseph Kofi
Abstract
This study examines the socio-demographic determinants of modern contraceptive use among women in the Asuogyaman district of Ghana. The results reveal that although 97% of the survey respondents knew of at least one modern method of contraception, only 16% of them were using modern contraceptives. Statistical tests show that level of education, place of residence, and work status significantly influence modern contraceptive use among women in the study area. Fear of side effects, desire for more children, and partner’s disapproval were the main barriers to modern contraceptive use in the study area. The use of traditional methods of contraception was very high because of the perception that they are safer. Based on these findings, it has been suggested that in addition to making family planning services available and accessible, health workers must address attitudinal factors such as fear of side effects and high fertility preferences. (Afr J Reprod Health 2013; 17[2]: 58-71).
Keywords
Level of education, work status, place of residence, women, contraception, Ghana
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Teye, Joseph Kofi
Résumé
Cette étude examine les déterminants sociodémographiques de la contraception moderne chez les femmes dans le district d’Asuogyaman au Ghana. Les résultats révèlent que, bien que 97% des interviewées connaissaient au moins une méthode moderne de contraception, seulement 16% d'entre eux utilisaient des contraceptifs modernes. Les analyses statistiques montrent que le niveau d'instruction, le domicile et la situation de travail influencent de manière significative l'utilisation des contraceptifs modernes chez les femmes dans la région étudiée. La crainte des effets secondaires, le désir d’avoir encore des enfants, et la désapprobation du partenaire ont été les principaux obstacles à l'utilisation de la contraception moderne dans la zone d'étude. L'utilisation des méthodes traditionnelles de contraception est très élevée en raison de la perception selon laquelle elles sont plus sûres. En se fondant sur ces résultats, il a été suggéré que, en plus de rendre les services de planification familiale disponibles et accessibles, les membres de personnel de santé doivent tenir compte des facteurs comportementaux comme la crainte des effets secondaires et des préférences de fécondité élevée. (Afr J Reprod Health 2013; 17[2]: 58-71).
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