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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 20, No. 2, 2016, pp. 111-121
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Bioline Code: rh16025
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Journal of Reproductive Health, Vol. 20, No. 2, 2016, pp. 111-121
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Determinants of Elongation of the Labia Minora in Tete Province, Central Mozambique: Findings of a Household Survey
Pérez, Guillermo Martínez; Bagnol, Brigitte; Chersich, Matthew; Mariano, Esperanza; Mbofana, Francisco; Hull, Terence & Hilber, Adriane Martin
Abstract
A WHO-supported provincial-level population-based survey was conducted in 2007 to understand the determinants and implications for health of vaginal practices. A total of 919 women aged 18-60 were selected randomly for enrolment. This is the first population-based study of females in Tete Province, Mozambique. At some time over their lives, 98.8% of women had practiced elongation of their labia minora and a quarter (24.0%) had done so in the past month. Currently practicing women were more likely to have engaged in sex recently, and used contraceptives and condoms at last sex than women who had stopped labial elongation. Younger age, residence in rural areas and having two or more male partners were also determinants of current practice. Women commonly reported they practiced for no specific reason (62.8%). Discomforting itchiness and lower abdominal pain were more frequent in women who had stopped labial elongation than in women who were currently practicing. Although women may not report current vaginal ill health, it is possible that prospective cohort studies could uncover alterations in genital vaginal flora or other indicators of impact on women’s health. The findings of this study do not suggest that labial elongation is linked with high-risk behaviors for HIV transmission.
Keywords
Labia minora elongation; vaginal practices; Mozambique; survey; cross-sectional studies.
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Pérez, Guillermo Martínez; Bagnol, Brigitte; Chersich, Matthew; Mariano, Esperanza; Mbofana, Francisco; Hull, Terence & Hilber, Adriane Martin
Résumé
Une enquête basée sur la population au niveau provincial soutenues par l'OMS a été menée en 2007 pour comprendre les déterminants et les conséquences pour la santé des pratiques vaginales. Un total de 919 femmes âgées de 18-60 ont été choisies au hasard pour participer. Cette étude est la première étude sur les femmes dans la province de Tete, Mozambique qui a été basée sur la population. À un certain moment de leur vie, 98,8% des femmes ont pratiqué l'allongement de leur petites lèvres et un quart (24,0%) l’avaient fait au cours du mois précédant. Actuellement les femmes qui le pratiquent étaient plus susceptibles d'avoir eu des rapports sexuels récemment, et d’avoir utilisé des contraceptifs et des préservatifs lors du dernier rapport sexuel que les femmes qui avaient arrêté l'allongement de petites lèvres. Le jeune âge, la résidence dans les milieux ruraux et ayant deux ou plusieurs partenaires mâles constituaient également des déterminants de la pratique actuelle. Les femmes ont souvent signalé qu'elles le pratiquaient pour aucune raison spécifique (62,8%). démangeaison gênante et des douleurs abdominales basses étaient plus fréquentes chez les femmes qui avaient arrêté l'allongement de petites lèvres que chez les femmes qui le pratiquaient actuellement. Bien que les femmes ne puissent pas signaler des problèmes de santé vaginale courants, il est possible que les études de cohorte prospectives découvrent des altérations de la flore vaginale génitale ou d'autres indicateurs de l'impact sur la santé des femmes. Les résultats de cette étude ne suggèrent pas que l'allongement de petites lèvres est lié à des comportements à haut risque pour la transmission du VIH.
Mots Clés
allongement de petites lèvres; pratiques vaginales; Mozambique; enquête; études transversales.
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