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African Journal of Reproductive Health
Women's Health and Action Research Centre
ISSN: 1118-4841
Vol. 22, No. 4, 2018, pp. 72-80
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Bioline Code: rh18054
Full paper language: English
Document type: Research Article
Document available free of charge
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African Journal of Reproductive Health, Vol. 22, No. 4, 2018, pp. 72-80
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Deterrents to Immediate Antiretroviral Therapy Initiation by Pregnant Women Living with HIV in Hhohho Region, Swaziland
Mambo, Harriet T & Hlongwana, Khumbulani W
Abstract
Despite robust evidence that immediate antiretroviral therapy (ART) initiation reduces transmission of HIV from mother to child, some pregnant women living with HIV in sub-Saharan Africa (SSA), and Swaziland in particular, continue to refuse ART. This study explored the reasons which deter pregnant women living with HIV from immediate ART initiation in the Hhohho region, Swaziland, using grounded theory design. In-depth interviews with ten purposively selected pregnant women who refused immediate ART initiation were carried out in three high volume health facilities. The thematic analysis revealed key reasons that deterred women from immediate ART initiation. These were shock and perceived stigma, participants‘ conceptualisation of health and ART and the fear of ART and its side effects. The study offers qualitative evidence from Swaziland that might help illuminate issues that prevent pregnant women from accepting immediate ART initiation for their own health and that of their children. The evidence generated from this study can be used for developing targeted and culturally appropriate intervention strategies for Swazi women. (Afr J Reprod Health 2018; 22[4]: 72-80).
Keywords
Prevention of Mother-to-Child transmission; lifelong ART; pregnant women; barriers; stigma; Swaziland
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Mambo, Harriet T & Hlongwana, Khumbulani W
Résumé
Malgré des preuves solides que l'instauration immédiate d'un traitement antirétroviral (TAR) réduit la transmission du VIH de mère à enfant, certaines femmes enceintes vivant avec le VIH en Afrique subsaharienne (ASS), et au Swaziland en particulier, continuent de refuser le traitement antirétroviral. Cette étude a exploré les raisons qui dissuadent les femmes enceintes vivant avec le VIH de se lancer immédiatement dans le traitement antirétroviral dans la région de Hhohho au Swaziland, en utilisant une conception théorique enracinée. Des entretiens approfondis avec dix femmes enceintes sélectionnées à dessein et ayant refusé l'initiation immédiate du traitement antirétroviral ont été menés dans trois centres de santé à volume élevé. L'analyse thématique a révélé les principales raisons qui ont dissuadé les femmes d'initier immédiatement un traitement antirétroviral. Il s‘agissait d‘un choc et d‘une stigmatisation perçue, de la conceptualisation de la santé et du traitement antirétroviral par les participantes, ainsi que de la peur des antirétroviraux et de leurs effets secondaires. L'étude présente des preuves qualitatives du Swaziland qui pourraient aider à éclairer les problèmes qui empêchent les femmes enceintes d'accepter l'initiation immédiate d'un traitement antirétroviral pour leur propre santé et celle de leurs enfants. Les preuves issues de cette étude peuvent être utilisées pour développer des stratégies d‘intervention ciblées et culturellement appropriées pour les femmes swazies. (Afr J Reprod Health 2018; 22[4]: 72-80).
Mots Clés
prévention de la transmission mère-enfant; traitement antirétroviral tout au long de la vie; femmes enceintes; obstacles; stigmatisation; Swaziland
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